Interbev lance une communication pour la consommation de viande de chevreau français en cette période de Pâques.
Raison N°1 : Parce que la viande de chevreau permet de changer ses habitudes et se faire plaisir en découvrant une viande et un goût nouveaux
Pâques est une saison majeure pour la filière caprine française puisqu’elle représente un tiers de la consommation annuelle de viande de chevreau en France. Toutefois, c’est une viande encore peu connue voire méconnue des consommateurs. Ces derniers se situent d’ailleurs principalement dans les régions d’élevages de chevreaux, à savoir les régions Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône-Alpes, Centre-Val de Loire, PACA et Occitanie. Pourtant la viande de chevreau sait s’adapter à toutes les occasions. Ses différents morceaux (côtes, épaule, gigot, collier, poitrine…) séduiront les gourmands voulant s’essayer à de nouvelles préparations allant des recettes traditionnelles aux recettes plus exotiques. En cette période de confinement, la viande de chevreau s’avère donc une alternative inédite pour s’évader et changer ses habitudes de consommation.
Raison n°2 : Parce que c’est une viande fondante aux saveurs délicates et aux qualités incontestables
La viande de chevreau présente des qualités organoleptiques et nutritionnelles à ne pas sous-estimer ! Riche en protéines, elle apporte également différents nutriments d’intérêt comme le fer, le zinc, la vitamine B12… Peu calorique, elle séduit les amateurs avec ses saveurs douces et délicates et sa chair claire et très fondante.
Raison n°3 : Parce que consommer de la viande de chevreau permet d’être solidaire en soutenant la filière caprine française
La filière caprine compte un peu plus de 7 800 exploitations détenant un peu plus d’un million de reproducteurs. L’élevage caprin français est quasi intégralement spécialisé dans la production laitière : 5 760 exploitations détenant près d’un million de chèvres, soit 94 % de son cheptel. La viande de chevreau constitue un enjeu clé pour la filière caprine : elle permet de valoriser un grand nombre d’animaux (près de 556 000 chevreaux en 2018) et, par conséquent, de garantir sa durabilité.
(communiqué de presse)