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Un temps d’échange important pour les CumaDelphine Cordaz
Le 27/12/2022 à 18:56 I
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![]() Renforcer le lien entre Cuma voisines, c’est l’un des atouts de la Semaine des Cuma. Comme chaque année, l’Union des Cuma Pays de la Loire a organisé la Semaine des Cuma fin novembre-début décembre. À Vay, c’est le jeudi 24 novembre qu’une quinzaine de personnes représentant six Cuma s’est réunie. « D’une année sur l’autre, nous essayons de tourner sur les huit Cuma concernées par ce secteur qui s’étend de Vay jusqu’à Issé », explique Jean-Luc Saffré, vice-président de la Cuma de Puceul et administrateur de proximité en Loire-Atlantique. Cette réunion est un temps d’échange attendu par les Cuma. « On présente chaque Cuma, son chiffre d’affaires, le nombre d'adhérents et de salariés, les points forts et les faiblesses, les innovations et investissements prévus. » C’est un moyen d’échanger sur divers sujets comme le matériel, les vols, les impayés, « tout ce qui touche au fonctionnement d’une Cuma ». C’est aussi l’occasion de renforcer l’entraide entre Cuma voisines : partager un épandeur non utilisé à 100 % avec d’autres Cuma ou investir à plusieurs Cuma dans un même matériel. « Nous avons des besoins, mais pas forcément les moyens d’investir dans tout le matériel donc nous avons intérêt de faire des échanges entre Cuma », souligne Jean-Luc Saffré. Par exemple, entre les Cuma de Puceul, Vay et La Grigonnais, « on s’entraide pour les battages en partageant le matériel et en faisant un échange d’heures ». Ces réunions de secteur sont donc l’occasion de créer du lien entre Cuma, de se rendre service et « de faire en sorte que tout le monde soit satisfait en temps et en heure. En plus, avec la flambée des coûts, il faut que l’on s’entraide, sinon on n’y arrivera pas ». Ces réunions permettent aussi de présenter les services de l’Union des Cuma, de demander aux Cuma ce qu’elles attendent de l’Union et de discuter sur des sujets d’actualité comme l’installation des jeunes ou l’inflation. « Tout le monde est inquiet et se pose la question de la façon dont on peut absorber ces hausses. Ça va être compliqué de renouveler le matériel qui tourne peu dans l’année comme les moissonneuses-batteuses et les ensileuses. À ce jour, nous n’avons pas répercuté les hausses de charges mais si ça continue, nous ne pourrons pas continuer ainsi. » Estelle Bescond Ecrire un commentaire |
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