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BOVIN LAIT : Préparer l’installation de son robot de traite avec SeenoviaDelphine Cordaz
Le 26/03/2021 à 16:32 I
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Mardi 16 mars, Seenovia organisait ses 'Robot Day’s'. L’occasion pour les éleveurs d’approfondir leur projet de mise en place d’un robot de traite. Le même jour, sept réunions se sont déroulées en Mayenne, Maine-et-Loire, Sarthe, Vendée, et Loire-Atlantique. Deux exploitations ont ouvert leurs portes sur notre département : le Gaec des Cerisiers à Héric ainsi que le Gaec Dugas à Saint-Etienne-de-Mer-Morte. La journée a commencé par une matinée studieuse. « Nous faisons découvrir aux éleveurs l’accompagnement proposé par Seenovia pour l’installation d’un robot de traite », expose Antoine Weinachter, responsable territorial du Pays de Retz chez Seenovia. L’entreprise a ainsi présenté l’ensemble de ses démarches pour accompagner la mise en place d’un robot :
« Dans un premier temps, nous les aidons à concevoir leur projet », explique Antoine Weinachter. L’idée est d’analyser la situation, d’intégrer les objectifs de l’éleveur et de prévoir l’évolution de l’exploitation, de ses ateliers et de sa main-d’œuvre. Le but : définir le robot le plus approprié et établir son emplacement, en fonction de l’accès à la laiterie, du raclage, de la qualité de l’eau et de l’emplacement des silos. Sans oublier le futur accès au robot pour les éleveurs ainsi qu’un bureau pour analyser les données informatiques fournies par la machine. « Pour choisir le bon emplacement, nous proposons un diagnostic électro-géobiologique », présente Jean-Paul Thuard, conseiller électricité et géobiologie chez Seenovia. Il s’agit de vérifier la qualité de l’alimentation électrique et du courant fourni. Le conseiller contrôle, pour chaque emplacement possible, la présence éventuelle de courants parasites, générés par les appareils électriques présents sur l’exploitation. « Le but est de positionner le robot sur une zone neutre afin de protéger la santé des animaux et de permettre une bonne fréquentation du robot. » La réussite de l’installation dépend en grande partie de son accessibilité. « Créer la bonne dynamique de circulation permet aux vaches de se faire traire en toute autonomie sans subir un délai d’attente conséquent », explique Jean-François Julliot, responsable du service traite chez Seenovia. La circulation des animaux doit aussi comprendre un circuit court : « Il se compose d’une aire de séparation avec un retour au robot. » Il sert notamment à isoler les vaches malades, blessées ou en attente d’insémination. Une fois l’emplacement choisi, Seenovia propose un plan de financement. L’entreprise accompagne ensuite l’éleveur durant les premiers mois de l’utilisation du robot. Grâce à DataHub, l’éleveur peut récupérer l’ensemble de son inventaire et des informations zootechniques pour assurer le suivi des performances. Pour ceux qui le souhaitent, Seenovia propose un conseil personnalisé pour la conduite de l’élevage. Ecrire un commentaire |
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